Auteur:
Agnès Belotel-Grenié
Sébastien Colin
Jean-Luc Domenach
Laurent Gayer
Dominique Gentil
François Godement
Michel Grenié
Gilles Guiheux
Claude Hamon
Valérie Laurans
Christian Lequesne
Julie Massal
Catherine Perron
Jean-Luc Racine
David Recondo
Hélène Sallon
Romain Simenel
Publié ici :
10 Novembre 2011Mis à jour le :
24 Juin 2017Langue de publication:
- Français
Date de publication:
10 Novembre 2011
Mots-clefs:
- publication électronique
- Transcontinentales
- Chine
- transición
- économie politique
- Economics
- Economía
- relations internationales
- International relations
- World politics
- Sociologie politique
- Political sociology
- Sociología política
- ciencias humanas
- human science
- ciencia
- science
- Ciencias
- Sciences humaines générales
- Social Science / Anthropology / General
- isi:Humanities; Multidisciplinary
- ost:Multidisciplinary
Domaines:
- Ethnologie, anthropologie
- Etudes politiques
- Sciences politiques
- Economie
- Sociologie
- Relations internationales
- Sciences politiques
- Identités culturelles
- Pensée
- Nature, paysage et environnement
- Développement économique
- Histoire et sociologie du livre
- Epistemologie
Zone géographique:
- Europe
À l'heure où la montée en puissance de la Chine déploie ses effets spectaculaires sur la scène internationale, sur le plan économique et sur le plan diplomatique ; à l'heure où les analystes – à commencer par ceux du National Intelligence Council américain – imaginent ce que pourrait être l'ordre du monde dans une vingtaine d'années si la poussée de la Chine et l'émergence nouvelle de l'Inde se confirmaient, ce numéro de Transcontinentales consacre son dossier aux évolutions internes du pays le plus peuplé de la planète. Depuis que la croissance forte et continue de l'économie chinoise s'est affirmée, des experts d'obédiences diverses s'interrogent sur la durabilité du succès chinois. Deux contradictions mettraient en péril la Chine façonnée par les réformes lancées, en 1978, par Deng Xiaoping. L'une, frontale, opposerait l'ouverture de l'économie à la fermeture du système politique. La libéralisation du marché ne pourrait s'accommoder du règne du parti unique. Le « capitalo-communisme » serait tout autant un oxymore que le « socialisme de marché ».
